Après vous avoir relaté ce qui nous avait plu lors de notre voyage aux Etats-Unis l’année passée, j’avais envie de vous faire le même genre de petit récapitulatif pour Barcelone.
Ce qu’on aime bien
- le soleil 🙂 C’est ce qui nous frappe le plus, à chaque descente d’avion. Ici, même quand il fait froid, il fait beau ! Grâce à cela, on se lève de bonne humeur tous les matins même quand la journée s’annonce chargée ou fatiguante.
- le grand enthousiasme des étudiants d’IESE, quelque soit leur nationalité, pour les gaufres belges. Les frites, la bière et le chocolat se sont apparemment fait voler la vedette.
- Le beurre plus que tartinable 2 minutes 30 après avoir été sorti du frigo, quand il fait plus de 25 degrés dehors.
- La présence d’un concierge 7 jours/semaine et d’une homme de la sécurité toutes les nuits.
- Les places réservées pour les femmes enceintes et les vieilles personnes dans les bus: à moins que ces places soient déjà toutes occupées (ce qui n’est pas fréquent), j’ai presque toujours pu m’asseoir dans le bus grâce à mon gros ventre ou parce que je portais Bout’chou en écharpe.
- Les taxis: ils sont très nombreux et bon marché. En journée, on n’a jamais du attendre plus de 2 minutes pour croiser un taxi qui soit disponible.
- Les services de livraison jusque dans la cuisine: la ville étant organisée pour dissuader de sortir sa voiture, les grandes enseignes proposent la livraison à prix raisonnable. Et on vous dépose les caisses sur le plan de travail de la cuisine !
- Le fait de pouvoir tout faire à pied, grâce au soleil et aux nombreux transports en commun.
- Les nombreux endroits « kids friendly », que ce soit pour allaiter ou parce qu’il y a un coin à jeux dans le café.
Ce qu’on aime moins
- Les SMS ne fonctionnent pas bien ici. Entre 2 numéros espagnols, on utilise WhatsApp et pour communiquer avec un numéro belge, on n’a pas d’autre choix que d’utiliser notre GSM belge ou Skype
- Les chaleurs du mois d’août et la mauvaise isolation des bâtiments, surtout quand on est enceinte… 28 dans l’appartement la journée fin août, 26 ou 27 la nuit… Les bâtiments ne refroidissent pas. Même début octobre, on dormait encore dans du 25 degré alors qu’il fait 20-23 la journée et 16 la nuit.
- Le chocolat à définitivement trouvé refuge au frigo. Tant pis si on doit le manger réfrigéré, c’est ça ou le manger tout fondu.
- les moustiques tigres en été et leurs fichues piqûres qui grattent super fort.
- le tri des poubelles qui n’est « pas nécessaire », nous dit le concierge. En fait, les sacs poubelles de différentes couleurs existent, mais comme le camion poubelle ramasse tous les sacs, peu importe leur couleur, tout est re-mélangé ensuite et cela dissuade les gens de trier leurs déchets.
- les automobilistes qui démarrent quand le feu des piétons passe au rouge alors que le feu voiture n’est pas encore vert.
- Les motos et scooters qui ne respectent pas les feux rouges et qui vous frôlent quand vous traversez sur un passage pour piétons.
- Les nombreux sens uniques, rendant la circulation automobile pas du tout optimale. Où qu’on aille, il faut systématiquement compter 30 minutes de trajet.
- Les places de parking quasi impossible à trouver en rue, et les parkings sous-terrain (très nombreux heureusement) qui sont un excellent terrain pour apprendre à manoeuvrer correctement. Car c’est au centimètre près! Nous avons d’ailleurs tous les deux zébré la voiture 🙂 Quand à certains voisins, on ne comprend même pas comment ils ont réussi à se garer entre le mur et 2 pilliers…
- La nourriture espagnole, fort grasse car frite ou baignée dans l’huile.
- La difficulté à trouver quelques produits belgo-français qui faisaient partie de nos classiques, tels que la compote de pomme, le vinaigre d’alcool, la moutarde à l’ancienne, du chocolat de qualité ou des speculoos. Et l’impossibilité de trouver des crevettes grises, de la cassonade, du sucre impalpable ou du pain d’épices!